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Conclusion
Il m'a été demandé de prononcer quelques mots de conclusion. J'en suis confus: tant d'autres, bien plus compétents, auraient pu Ie faire. Mais précisément ma seule justification réside peut-être en cela: je ne représente aucune des spécialités, si nombreuses, qui peuvent s'appliquer à l'étude de Pline l'Ancien. Il m'est donc permis de dire aux représentants de chacune notre admiration et nos remerciements. Nos remerciements, d'abord. Us vont en premier lieu vers les organisateurs du Colloque, vers Ia Ville et l'Université qui nous ont si bien accueillis, vers M. Pigeaud, ses collaborateurs et collaboratrices. Je me fais l'interprète de tous pour dire aux dames et demoiselles de Nantes —et naturellement, dans Nantes, je fais entrer Orvault!— toute notre reconnaissance pour leur grâce si attentive et pour Ia peine qu'elles ont prise, d'une façon si amicale et en donnant toujours l'impression que les choses étaient faciles. Mais nous savons combien d'efforts sont nécessaires pour arriver à une pareille réussite. Je veux aussi remercier nos collèges étrangers qui sont venus si nombreux. Nous avons attaché beaucoup de prix à leur présence. Elle a permis, comme je Ie disais, Ia plus large confrontation entre les spécialistes. Elle facilitera également Ia publication même du Colloque, puisque nous devons à ce propos dire notre reconnaissance au P. Oroz Reta, de l'Université Pontificale de Salamanque. Le choix de Pline l'Ancien était, me semble-t-il, particulièrement heureux à Ia fois par Ia profondeur et Ia diversité des problèmes qu'il posait. Il était utile de faire dans Ie moment présent une synthèse d'ensemble sur cet auteur.
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