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Du 6 au 17 novembre 2017, la ville de Bonn en Allemagne est devenue pour l’occasion, la destination la plus courue pour bon nombre de politiques, d’économistes, de
philosophes, de critiques, de libres penseurs voire d’observateurs, à la faveur de la tenue de la 23è Conférence de l’ONU sur le climat (CCNUCC), dénommée COP 23. Cette Conférence planétaire, devenue annuelle, examinait alors à la lumière de l’actualité brûlante les questions environnementales et notamment les problématiques relatives aux dérèglements climatiques.
Cette énième Conférence faisait suite à plusieurs autres du même acabit qui se sont déjà tenues par le passé et qui ont pour principal objectif commun la recherche des solutions de tous ordres permettant de parvenir à la limitation du réchauffement climatique et à la maîtrise
de la crise écologique dont les origines, bien que plurielles et diverses, sont à situer
principalement dans l’activité de l’homme dans la nature ; activités qui engendrent donc des problèmes éthiques nouveaux et qui interpellent la réflexion et la critique philosophiques précisément depuis que l’homme a pour allier la technique dans son rapport avec la nature.
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